Le théâtre, le chant, l’écriture, ne sont-ils pas les meilleurs ingrédients pour faire vivre une langue?
Votre théâtre en béarnais, Hubert Lux, fait vivre notre langue millénaire, notre identité, nos racines, notre patrimoine. A travers vous, cette langue écrite immortalise ce que nous sommes, des Béarnais, fiers de l’être.
Vastin Lespy, Simin Palay, ont contribué à cette pérennisation de notre langue béarnaise. Mais je voudrais associer à cette contribution culturelle, Le Festival de Siros, notre ami Justin Laban qui vient de nous quitter et ses messes en béarnais, ainsi que notre paysan de Momas Alexis Arette, avec ses quelques 150 chansons, sans compter tous ses ouvrages et poèmes, le tout écrit en béarnais.
Vos pièces de théâtre, nous font vivre ou revivre bien des péripéties du monde rural en particulier, et j’y suis personnellement sensible, d’autant que les origines des manifestations culturelles en béarnais et pour le béarnais, sont venues très souvent, de ce monde rural.
Alors aujourd’hui, au nom de l’IBG, je suis heureux de vous remettre un symbole de cette ruralité béarnaise, l’AGULHADE.
Pour l’IBG,
Pierre Bidau,
Lembeye, le 16/02/19.